Pratiques collectives et culture des précédents - l’expérience de dix collectifs bretons
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Cet écrit est une mise au propre d’un travail de «
recherche-réflexion » que j’ai mené pendant un peu plus d’un an.
Ceci n’est pas un écrit universitaire, ceci n’est pas non plus tout
à fait le travail d’un chercheur.
Cet écrit est avant tout un travail de « mise au propre » d’un temps
réflexif personnel sur mes pratiques et sur des pratiques collectives.
La première partie de cet écrit est d’ailleurs à voir plutôt comme la
retranscription et l’analyse d’un journal de bord de mon vécu lors de
cette expérience.
Mi- « parcours initiatique », mi- « travail sur le collectif », cet
écrit parle du « nous » tout en étant constamment renvoyé au « je ».
Le jeu du « je » de l’individu dans l’ensemble. Le « je » du jeu de
groupe traversé de la multitude d’unité faisant le tout. Ce « je » qui
pour ce texte ci-dessous me concerne. Donc ne pas prendre cet écrit
comme théorisation des pratiques collectives mais plutôt comme
l’exemple parmi tant d’autres d’un individu pratiquant le collectif.
D’un « je » jouant le jeu du « nous ».
Afin de cheminer dans ma réflexion, je me suis appuyé sur dix collectifs bretons. Divers sur la forme – coopératives, associations, collectifs non formels – comme sur le fond – entreprises coopératives, collectifs militants, lieux de vie, collectifs artistiques. C’est donc deux notions qu’à travers eux j’ai tenté de questionner : les mécanismes et enjeux de fonctionnement au sein de groupes et la question de la trace à garder (et pourquoi pas à transmettre) de ces expériences et savoirs collectifs.
Il faut donc voir cet écrit comme une trace supplémentaire à apporter aux savoirs existants sur les fonctionnements collectifs.
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